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La place des bonnes : La domesticité féminine à Paris en 1900

A la fois exploitées, confidentes, observatrices privilégiées de la vie bourgeoise, les bonnes sont indispensables à la compréhension du XIXe siècle. Elles balaient, font la cuisine, montent les seaux de charbon, vident les cuvettes et frottent l’argenterie, du matin jusqu’au soir. Elles n’ont point de vie à elles. Car ce sont les bonnes. Mais d’elles, on exige plus encore que l’accomplissement des tâches ménagères. Il faut qu’elles soient le dévouement incarné. Car elles sont les…